Salle de classe.

(étant donné qu'au départ, Misato est Prof, je me permet de poster ce topic. j'en profite également pour m'escuser de ma longue absence .... flagelez moi en place publique si c'est le prix à payer .... désolée !)

Une trantaine d'aspirants Ninjas étaient assis calmement dans la salle de classe. Ils venaient de passer une petite intero sur les techniques de substitution et chacuns attendaient patiemment que la professeure décrète la fin du cour. Soudain, la cloche liberatrice se fit entendre et Misato eu à peine de temps de dire "vous pouvez y aller" que tous les jeunes élèves étaient déjà dehors.

La jeune femme se laissa tomber sur sa chaise et se balanca légèrement en regardant le plafon.

*Déjà la rentré !!! je vais avoir du mal à assurer tous mes cours avec mes nouvelles fonctions ! Et puis faut pas que je perde la main ...
Tient, demain c'est le week end ! Si j'en profitait pour me bouger ?*

Elle se redressa juste à temps pour éviter de se casser la figure et sorti de la salle de classe.

*Je vais voir un peu les missions et puis si je trouve rien d'interessant, j'irais faire un tour au tanzaku !*

[hj : Eh non, vous ne révez pas !! Je suis revenue !!^^ Désolée de cette absence, j'espère pouvoir passer plus souvent.^^hj/]

La jeune fille arriva à l'académie , pleine d'enthousiasme. Elle devait recontrer la jeune femme qui se chargerait de lui expliquer comment se déroulerait la surveillance des épreuve pour l'examen, et on lui avait indiqué à l'acceuil que cette mysterieuse Misato était professeure et qu'elle pourait la trouver dans une salle de classe.
Kaere avait donc parcouru pendant une bonne vingtaine de minutes les couloirs de l'école en long en large et en travers, frappant à toutes les portes pour tenter de trouver la jeune femme. Finalement, elle arriva essouflée devant la dernière porte du couloir du dernier étage et prit le temps de reprendre son souffle.

*Pfiouuuuuuu... j'men rappellerai dites donc ! J'les connais par coeur maintenant ces foutus couloirs.*

Puis elle se redressa, bomba le torse et se mit face à la porte. Elle ressentit un léger stress et pris une grande bouffée d'air pour se donner du courage avant de frapper trois coup sur le panneau de bois.